Agriculture and Food Security / Agriculture et Sécurité Alimentaire
1/ Agriculture en Afrique subsaharienne : état des lieux, les défis pour nourrir un milliard d’Africains supplémentaire en 2050.
Conférence – Débat : L’agriculture en Afrique (14/12/2010). UNIAGRO Ingénieurs du vivant (www.uniagro.fr)
avec Arthur Riedacker (Directeur de Recherche INRA et du GIEC) et Pierre Texier (Ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux). Télécharger le document // Download the folder
2/ Dossier Sécurité alimentaire
Dossier Sécurité alimentaire et changement climatique en Afrique sub-saharienne par Arthur Riedacker et Dossou Firmin Adjahossou. Revue POUR (décembre 2010) éditée par GREP (Groupe de Recherche pour l’Éducation et la Prospective), 60 Rue Fbg St Martin 75010 Paris, www.grep.fr
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3/ Les choix énergétiques mondiaux : entre confiance technologique et préoccupations environnementales.
Liaison Energie-Francophonie Numéro 80 – Trimestre 2008. Instiut de l’Energie et de l’Environnement de la Francophonie.
« Un peu plus d’énergie fossile pour la sécurité alimentaire, le climat et la biodiversité ».
Arthur Riedacker, Directeur de recherche INRA et Consultant DSP.
Au cours des cinquante prochaines années la population actuelle de l’Afrique subsaharienne sera multipliée par 2 ou 3.
Augmenter la production alimentaire pour réduire les risques de crises alimentaires est un objectif sur lequel devraient pouvoir s’accorder prioritairement tous ceux qui ne souhaitent pas un accroissement de la dépendance alimentaire de cette partie du monde.Améliorer à la fois la sécurité alimentaire et réduire les émissions de gaz à effet de serre en injectant un peu plus d’énergie fossile peut cependant à priori paraître paradoxal surtout pour les lecteurs plus familiarisés avec les énergies fossiles qu’avec l’agriculture et la gestiondes espaces ruraux.Lorsque l’on converti de l’énergie fossile et des biomasses végétales, il faut évidemment le faire avec les moins de pertes possibles, d’où l’importance de la recherche d’une bonne efficacité énergétique afin de consommer moins d’énergies fossiles pour l’obtention d’un service donné. En revanche, la production des biomasses végétales, alimentaires et non alimentaires, dépend tout d’abord de l’efficacité de la conversion de l’énergie solaire en biomasses végétales via la photosynthèse. Car les surfaces disponibles sur notre planète sont limitées. Mais le rendement de conversion de l’Ènergie solaire par les plantes peut être augmenté en injectant un peu plus d’énergie, notamment sous forme d’engrais et de travaux on augmente alors l’efficacité territoriale. Cela permet ainsi, pour une augmentation de production donnÈe, de rËduire les besoins en nouvelles terres quand la demande en produits agricoles ou forestiers augmente.Télécharger le dossier
4/ Aspects nutritionnels de l’optimisation d’un système de cultures associant le maïs et l’arachide au Sud-Bénin
B. S. ADJAHOSSOU (1) , V. N. ADJAHOSSOU (2), D. F. ADJAHOSSOU (3) P. EDORH (4), B. SINSIN (3) and M. BOKO (2 )
1- Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi (EPAC/UAC); 01BP 2417 Cotonou, Bénin.
2- Faculté des Lettres Arts et Sciences Humaines-Université d’Abomey-Calavi (FLASH/UAC); BP 55 Abomey-Calavi, Bénin.
3- Faculté des Sciences Agronomiques-Université d’Abomey-Calavi (FSA/UAC); 01 BP 526 Cotonou, Bénin.
4- Faculté des Sciences et Techniques, Département de Biochimie et de Biologie Cellulaire, Université d’Abomey-Calavi (FAST/UAC); 01 BP 526 Cotonou, Bénin.
Résumé
On a évalué au Sud Bénin et en milieu contrôlé, les aspects nutritionnels d’une part, de systèmes de cultures pures (arachides et variétés de maïs à port érigé, à port semi retombant ou particulièrement riche en protéines) et d’autre part de cultures associant l’arachide avec ces trois variétés de maïs. Les cultures ont été conduites avec une irrigation d’appoint et une fertilisation organique (10 t de matière organique/ha) et chimique (100 kg/ha d’engrais complet 10-20-20). En culture pure, les rendements en grains par ha atteignaient 1,785 t pour l’arachide et respectivement 2,89 t, 4,17 t et 4,77 t pour les trois variétés de maïs semées à la même densité. En associant l’arachide et le maïs, les rendements par ha en arachide et en maïs atteignaient respectivement 1,16 t (arachide) et 2,7 t (pour le maïs), 0,94 t et 13,5 t et enfin 0,81 t et 3,62 t. Ces productions ont également été exprimées en glucides, protéines et lipides pour déterminer le nombre de rations alimentaires par ha. Ce n’est pas le système qui fournit le plus de graines de maïs et d’arachide par ha en culture pure, mais l’association du maïs à port érigé avec l’arachide qui donne les meilleurs résultats ; 7369 rations alimentaires journalières équilibrées par ha, contre 6628 et 6022 rations pour les deux autres associations. Les cultures mono spécifiques ne fournissent que 1486 à 2429 rations par ha. L’association optimisée du maïs avec de l’arachide permet donc de nourrir davantage de personnes par ha. © 2009 International Formulae Group. All rights reserved Mots clés : cultures pures, mélanges de cultures, glucide, protéine, lipide.
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5/ Une agriculture productive soucieuse de prévenir les risques sanitaires et environnementaux
PRUGUE Michel ,FRANCE. Conseil économique et social ( source: http://www.ladocumentationfrancaise.fr)
Paris ; Journaux officiels
( Journal officiel de la République française, avis et rapports du Conseil économique et social )
En ce début du XXIème siècle, des questions se posent quant à la production alimentaire mondiale et à la gestion des risques agricoles et environnementaux. Ce rapport analyse la manière d’utiliser le sol dans les années à venir, pour répondre aux défis de l’agriculture : défis alimentaires, environnementaux et sanitaires, épuisement des énergies fossiles, climat, eau et biodiversité… Il s’interroge sur les moyens d’assurer un niveau de productivité qui permette la durabilité des systèmes de production (recherche et innovation, avènement de la consommation durable, mise en pratique des propositions du Grenelle de l’environnement, sensibilisation des exploitations agricoles et de leurs organisations à la responsabilité sociale des entreprises – RES). Le rapporteur estime nécessaire de restaurer la confiance de la société en l’agriculture, de renforcer une gestion collective des risques sanitaires et environnementaux, et de revoir l’ingénierie du débat public. Il préconise par ailleurs de réaffirmer le caractère multifonctionnel de l’agriculture, d’encourager les filières ou entreprises qui proposent une approche globale, allant de la sécurité sanitaire des aliments à la maîtrise des impacts environnementaux. Il propose enfin de requalifier le ministère de l’agriculture et de la pêche en « ministère de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche et du développement rural ». Télécharger le document
6/ International Fund for Agricultural Development (IFAD) www.ifad.org
Rapport 2011 sur la pauvreté rurale
7 / Efficiency of nutrient use by crops for low input agro-environments.
Carlos Pimentel (2006)
Chapter 9, in: Nitrogen nutrition in plant productivity. Singh, R. P.; Shankar, N.; Jaiwal, P. K. (Eds.). Studium press, LLC, Houston, Texas, USA, p. 277-328, 2006. ISBN: 1- 933699-00-0 – Download the folder
Pimentel Carlos – Dep. de Fitotecnia, I. A.; Universidade Federal Rural do Rio de Janeiro;
Seropédica; 23851-970; Brazil; e-mail: greenman@amcham.com.br
8 / Conditions d’une agriculture durable dans les pays en développement.
Philippe BALLAN (1995)
dans « Aménagement et Nature, regards interdisciplinaires sur l’environnement : l’Agriculture Durable » n°117(1995)
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9 / Après Copenhague, quelle place pour l’agriculture dans la lutte contre les changements climatiques ?
Joseph Racapé 2009 – Défi alimentaire mondial : les politiques face à la faim. Numéro 202-203 Revue POUR – Groupe de Recherche pour l’Education et la Prospective – de décembre 2009. (télécharger le document)